vendredi 26 juillet 2013

Dérouillage !

C'est parti pour le grand décapage d'automne. La scie est intégralement démontée, c'est le moment de faire briller tous les composants.

samedi 13 juillet 2013

Planification des opérations

Voici ce que j'ai prévu pour la restauration de l'engin. Cela nous amène à pratiquement un mois et demi de travail...


Pour les durées, j'ai volontairement prévu large vu que je ne peux travailler qu'un peu le soir et les weekends. Et encore, quand je n'ai pas d'imprévus, de sorties ou d'apéros/visites surprise  !

L'ancien n'est plus bon à rien ? Pas si sûr...

Me voici donc en quête d'une scie à ruban. Après une rapide étude du marché, je me suis tristement rendu compte que tout le matériel neuf en dessous de 500, 600€ provient de l'Asie de l'est...
Bâtis en tôle pliée, moteurs faiblards, poulies avec des défauts de fonderie, lame non réglée entre les galets etc. Il suffit de lire quelques sujets sur les forums spécialisés pour se faire une idée de travail à réaliser dès la réception du matériel uniquement pour pouvoir commencer à l'utiliser dans des conditions correctes.
Quitte à restaurer une machine, autant travailler sur du beau matos ! Voici la mamie que j'ai dégotée contre toute mon estime à l'ancien propriétaire qui n'est autre que mon oncle :)
.
Modèle "La scie rapide type R300"

samedi 6 juillet 2013

Une scie à ruban... un outil au top !

Mes idées et projets se bousculent dans ma tête et mon poste à souder a faim ! Étagères en acier, chariot de manutention pour déplacer mes établis, racks à ferraille, desserte mobile pour aspiration centralisée, barbecue etc.
Pour être autonome niveau fabrication et organisation de ma charge, il faut que je puisse débiter mes composants moi même. Après avoir longuement hésité entre découper au trépan abrasif, au trépan carbure et à la scie à ruban, j'adopte la solution massive et la plus qualitative : Une énorme scie à ruban :).

Tronçonneuse à métaux Makita avec disque abrasif
Solution économique, puisque les disques abrasifs sont peu coûteux. Principal avantage de cet outil : les faces découpées sont polies = découpe propre. Par contre, c'est très bruyant, ça fait des étincelles, ça crache de la limaille d'acier partout (superbe de récupérer ça sur les glissières des autres machines) et il faut rester devant la scie pendant la coupe...

Tronçonneuse à métaux Dewalt avec lame carbure
Même inconvénients que pour la tronçonneuse à disques abrasifs sauf que la coupe est encore meilleure niveau finition et précision. Le disque a également une longévité remarquable, mais coûte 10 fois plus cher qu'un disque abrasif (environ 120€ TTC). 
Scie à ruban sur bâti
La scie à ruban offre de nombreux avantages. Premièrement niveau capacités. Là où une tronçonneuse classique prends au maxi du tube de 100 par 100 environ, une ruban coupe aisément de l'Ipn de 100, 200, voir même 300 pour les plus grosses (idéal en cas de travaux lourds de charpente métallique dans une maison). Avec une lame adéquate, la coupe est nette et précise. Elle se fait également sans bruits (par rapport à la tronçonneuse) et sans en mettre de partout. Les copeaux sont mélangés à l'huile de coupe et récupérés dans un bac sur la plupart des modèles. Cerise sur le gâteau, les scies haut de gamme sont autonomes. Elles gèrent la descente avec un vérin hydraulique (= constance de l'avance). Ce qui signifie que l'on a aussi les mains libres le temps de la coupe pour travailler ailleurs. Sans oublier tous les à cotés qui augmentent la productivité : butées de positionnement rapide pour de la série, recyclage des copeaux (évite de passer le balai dans l'atelier), interrupteurs fin de coupe, serrage auto de l'étau, orientations d'onglet prédéfinies etc.
Le seul point noir que je lui trouve c'est son encombrement. Là où une tronçonneuse rentre dans une caisse en plastique, la scie à ruban demande beaucoup de place et un sol résistant pour supporter sa centaine de kilos. Mais bon, tout est question de compromis...

jeudi 13 juin 2013

Trouvaille du week-end

En farfouillant dans la caverne d'Ali Baba, j'ai trouvé un superbe étau encrassé prenant la poussière depuis une dizaine d'années...Contre de bons soins et un décrassage en règle j'ai pu le récupérer gratuitement !
Avec ses 15 kg, le bestiau respire la qualité.


Nettoyage à la rotabuse de nettoyeur HP, coup de pétrole pour dégraissage et huilage fin pour la protection anti-corrosion.
C'est dommage, je n'arrive pas à retrouver la marque. Si un connaisseur passe par là pour m'éclairer...


dimanche 2 juin 2013

Tourner un axe sans tour... Impossible me direz-vous ?

Aujourd'hui pour ma desserte de soudage, j'ai besoin d'une portée diamètre 20 mm sur mon axe de roulement pour enfiler mes roues.
La problématique : je travaille avec du tube de canalisation galva au diamètre 21,3 mm. J'ai choisi cela pour  l'épaisseur et l'approvisionnement (très facilement trouvable en barres de 1 et 2 mètres afin de coller à mon besoin). De plus, les 2.3 mm d'épaisseur au rayon donnent une rigidité incroyable au tube. Pratique pour éviter de vriller l'axe de roulement de ma desserte quand je la violenterai dans les cailloux. La qualité prime pour moi selon le critère : "dans 10 ans pas une ride !", voilà donc le pourquoi du comment.

Bref, niveau conditions du jour : je ne bricole pas chez moi, nous sommes dimanche et je n'ai pas de tour sous la main, ni de comparateur... Sympa le challenge pour enlever les 0.65mm au rayon.

Idée du jour : des roulettes pour le poste à souder !

Tout est dit ! Je ai marre de perdre mon temps avec la mise en place du matériel de soudage. Tout est rangé dans 10 caisses différentes à 10 endroits différents (poste, marteau à laitier, serre joints, brosse etc.). J'ai donc eu l'idée de me fabriquer une desserte de soudage. Je veux un truc pratique, autonome et surtout mobile.